Le 30 octobre 1917, les Canadiens reprennent leur  marque la reprise de l'assaut canadien sur Passchendaele. Après une pause d'une journée pour permettre aux deux divisions de tête de changer de brigades, les 3e et 4e divisions canadiennes ont poursuivi leur progression vers l'est. Cette journée vit jour-là, il y a eu d'innombrables démonstrations de bravoure, mais quatre Canadiens ont été reconnus pour leur courage exceptionnel au cours de la bataille la plus brutale de la Première Guerre mondiale.  Au cours du carnage de Passchendaele, le major George Pearkes, le lieutenant Hugh McKenzie, le sergent George Mullin et le soldat Cecil Kinross ont tous fait preuve d'une bravoure sous le feu qui leur a valu la Croix de Victoria.  

Le major George Pearkes et le 5th Canadian Mounted Rifles auquel il était qui lui étaient affectés firent preuve de détermination en refusant de se retirer lorsqu'ils se trouvèrent dans une situation précaire. Ce refus de se replier a assuré la victoire du Canadiens.

Le lieutenant Hugh McKenzie et le sergent George Mullin mènent une attaque contre une position ennemie. McKenzie est tué, mais Mullin et l'équipe terminent l'attaque et capturent la casemate.  

Le soldat Cecil Kinross, du 49e Bataillon, est pris sous le feu nourri de l'ennemi au début de l'assaut. Ayant évalué Examinant la situation, il enlève son équipement, charge une mitrailleuse ennemie, tue les six membres de l'équipage de six personnes et détruit l'arme. En milieu d'après-midi, le PPCLI prend d'assaut les points d'appui du carrefour de Meetcheele

Les quatre hommes, Pearkes, McKenzie (à titre posthume), Mullin et Kinross se méritent ainsi reçoivent la Croix de Victoria pour leur bravoure exceptionnelle ce jour-là. 

Pour de plus amples renseignements sur l'activité « Au jour le jour » de la Première Guerre mondiale, visitez le site Web des Amis de la Première Guerre mondiale, Jour après jour.

L'automne 2023 marque le début d'une nouvelle année dans les deux collèges militaires canadiens (CMC) du Canada.   – Le Collège militaire royal du Canada (CMR) à Kingston, en Ontario, et le Collège militaire royal de Saint-Jean (CMR Saint-Jean) à Saint-Jean-sur-Richelieu, au Québec, sont deux universités militaires complémentaires qui offrent à leurs étudiant.e.s un type d'éducation différent. 

Les CMC offrent, entre autres, le Programme de formation des officiers de la Force régulière (PFOR), un programme d'études entièrement subventionné menant à l'obtention d'un diplôme de premier cycle et à une commission d'officier dans les Forces armées canadiennes (FAC).

En tant qu'élèves-officiers du PFOR et aspirantss de marine au sein d'un CMC, vous entreprendrez un voyage vivifiant qui vous permettra de faire partie d'un patrimoine dont vous serez fiers. pour faire partie d'un fier héritage. Les élèves-officiers et les aspirants de marine sont en mesure d'exceller en étant immergés dans un environnement qui valorise l'excellence dans les études, l'entraînement militaire, la condition physique, la maîtrise d'une langue seconde et le leadership.

L'environnement des CMC cultive la discipline, la motivation et le respect mutuel. La devise des deux collèges – Vérité, Devoir, Vaillance – guide les membres du personnel et les élèves-officiers et aspirants de marine tout au long de leur parcours au collèges et tout au long de leur vie.

Les Amis Je souhaitent à tous les élèves une année réussie et en toute sécurité.

Le 19 avril 2011, au cours de son qu'il était en déploiement en Afghanistan avec le 1er Bataillon du Royal 22e Régiment, le soldat Taumy St-Hilaire a fait preuve d'un courage exceptionnel lors d’dans ce qui serait considéré comme un acte d’altruisme véritablement égoïste.

Ancien joueur de football, Taumy s’est engagé dansa rejoint l'armée en 2010. Le 19 avril, alors qu'il patrouillait dans le village de Chalghowr, son unité a essuyé des tirs ennemis et la patrouille s'est dispersée pour se mettre à l'abri.

Au cours de l'engagement, Taumy a repéré un père et son fils afghans pris entre deux feux. De sa seule initiative et malgré l'agression de l'ennemi à partir de trois positions distinctes, il a demandé un feu de couverture et s'est dirigé vers l'endroit où le père et le fils s'étaient réfugiés. Malgré l'extrême danger qu'il courait, il a récupéré les deux Afghans et les a conduits en lieu sûr.

L'action du soldat St-Hilaire est vraiment remarquable, compte tenu des circonstances et des conditions extrêmes dans lesquelles les troupes canadiennes ont étaienté engagées.  

Les Amis vous saluent, Taumy, pour votre service.

Date d'attribution : 17 mai 2012

Date d'investiture : 15 novembre 2012

« Cette équipe remarquable demeure un symbole de l'excellence en aviation, non seulement pour les Canadiens, mais aussi pour les nombreux spectateurs  internationaux qui ont été témoins des performances exceptionnelles des Golden Hawks pendant cours des cinq saisons, de 1959 à 1963.

Avec le meilleur avion de chasse au monde de l’son époque, le F-86 Sabre de fabrication canadienne, les pilotes de l'équipe et leur personnel au sol qui les accompagnait étaient du plus haut niveau. Je connaissais personnellement tous les pilotes des Golden Hawks et je peux attester du fait qu'ils étaient la crème de l'ARC à une époque où notre force aérienne était généralement reconnue comme la meilleure de l'OTAN.

Général (à la retraite) Paul D. Manson, O.C., CMM, C.D.

Les pilotes des Golden Hawks de 1959 (de gauche à droite, de l'avant à l'arrière) : F/O Bill Stewart, F/L Ralph Annis, F/L JT Price, S/L Fern Villeneuve (chef d'équipe), F/L Jim McCombe, F/L Jeb Kerr, F/O Jim Holt et F/L Ed Rozdeba.